Avertissement : Les
extraits donnés dans VOTRE VILLAGE indiquent la situation
administrative et l'orthographe de l'année 1868. Ils ne sont pas
forcément identiques à ceux de notre époque.
Corconne, canton de Quissac. (renseignement administratif de
1868)
- Nom, Date, (Sources)
- Ecclesia Sancti-Stephani de Corconna, 1119, (bullaire
de Saint-Gilles, Ménard I, preuves page 28, col. 2)
- Corconna, 1188, (cartulaire de Franquevaux)
- Corcona, 1384, (dénombrement de la sénéchaussée)
- Corcona, 1405, (Ménard Ill, preuves page 188, colonne
2)
- Corconne, 1435, (répartition du subside de Charles
VII)
- Corconne,1548, (archives départementales du Gard C.
788)
- Le prieuré de Sainct-Estienne-de-Corcone, 1579, (insinuation
ecclésiastique du diocèse de Nîmes)
- Corconne, balhage de Sauve, 1582, (Tar. univ. du
diocèse de Nimes)
- Corcone, 1633, (archives départementales du Gard C.
745)
- Le prieuré Sainct-Estienne-de-Corcone, 1660, (insinuation
ecclésiastique du diocèse de Nîmes)
Corconne, avant 1790, appartenait à la viguerie de Sommières (plus
tard au bailliage de Sauve) et au diocèse de Nîmes, archiprêtré de
Quissac.
- On y comptait 3 feux et demi en 1384.
- Le prieuré simple et séculier de Saint Étienne de Corconne
valait 2500 livres, et l'abbé de Saint Gilles en était le collateur.
- Sur une élévation qui domine le village, on voit encore les
ruines du château de Corconne, situé à l'entrée des Cévennes, il était
regardé comme une place importante.
- Corconne porte (description du blason) :
d'azur, à deux montagnes d'or, mouvantes des deux flancs
de l'écu, celle à dextre, sommée d'une croix d'argent; et celle à sénestre,
d'un château de même, maçonné de sable.
En
Savoir plus sur Corconne
> La
Fête de l'Olive à Corconne
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