Topographie du Département du Gard.
Eugène Germer-Durand, 1868
LA CALMETTE

 

Avertissement : Les extraits donnés dans VOTRE VILLAGE indiquent la situation administrative et l'orthographe de l'année 1868. Ils ne sont pas forcément identiques à ceux de notre époque.

La Calmette
, canton de St Chaptes

 
- Nom, date, (sources.)

- Villa que nuncupant Calmes, in comitatu Ujetico, 1027 (cartulaire de Notre-Dame de Nimes, chapitre 206)

- Calmi, 1108 (cartulaire de Notre-Dame de Nimes, chapitre 176).
- Ecclesia de Calmis, in Uticensi episcopatu, 1156 (cartulaire de Notre-Dame de Nimes, chapitre 84).
- Ad pontem ficse de Calmeta, 1237 (chapitre de Nimes, archives départementales).
- Castrum de CaImeta, 1252 (chapitre de Nimes, archives départementales).
- Villa et tenementum de Cal­rneta, 1277 (Ménard I, preuves page 107, colonne 1).
- Calmeta, 1313 (cartulaire de Saint-Sauveur-de-la-Font)
- Calmeta, 1381 (Ménard llI, preuves page 34, colonne 2 ;  page 65, colonne 2)
- Calmeta, 1384 (dénombrement de la sénéchaussée.).
- Locus de Calmeta, Uticensis diocesis, 1463 (L. Peladan, note de Saint ­Geniès-en-Malgoirès).
- La Calmette, 1581 (archives départartementales. C. 1308 ; Ménard IV, page 203).
-Le prieuré Saint-Julien de la Cal­mette, 1696 (insinuation ecclésiastique du diocèse de Nîmes)
-Le prieuré Saint-Julien de la Cal­mette,  1752 (archives départementales C. 1308 ; Ménard IV, page 203).

La Calmette faisait partie, avant 1790, de la viguerie et du diocèse d'Uzès, doyenné de Sauzet ; mais le précenteur de la cathédrale de Nîmes en était prieur, et siégeait à ce titre dans les synodes du diocèse d'Uzès.
- On y comptait 9 feux en 1384.
- On trouve sur cette commune des restes de la voie romaine qui allait en Gévaudan.

La Calmette porte pour armoiries :
de vair, à une fasce losangée d'argent et de sable.

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L'Hôpital de Saint-Jacques de la Calmette

L'hôpital Saint-Jacques de La Calmette, fut créé dans le but de donner asile aux pèlerins de passage. Il a cessé d'exister en 1584, époque à laquelle la communauté crut pouvoir disposer de ses biens. Un siècle plus lard, le souvenir en avait complètement disparu, et on ne trouvait, dans les archives communales, aucun titre rappelant la fondation, les rentes ou les revenus de cet établissement hospitalier. Par suite de la disparition des registres des délibérations de la communauté de 1660 à 1693, l'acte reçu par le notaire Daleyrac, acquiert un intérêt historique dont voici les détails dans le texte ci-dessous.

> L'Hôpital de Saint-Jacques de La Calmette.

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En Savoir plus sur le Gard

> Topographie du Gard de l'époque Celtique à 1868. (17pages de descriptif)

 

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