Différentes versions de la vie du Général MERLE sur le net
Pierre-Hugues-Victor Merle ou Pierre-Hugues-Victoire Merle


NDLR : Ce dossier est destiné à éclairer les lecteurs du site nemausensis, sur la vie de cet incroyable personnage qu'est le Général Merle. Nîmois d'adoption, à la fin de sa vie, il sera obligé de s'éloigner de Nîmes, car les différentes factions qui s'opposaient alors, n'appréciaient pas les anciens officiers de l'Empire, même s'ils avaient défendu le drapeau national au péril de leurs vies. Par un incroyable destin, sa descendance adoptive s'attachera à faire revenir sa dépouille pour qu'il repose dans le paisible cimetière Saint-Baudile.


http://www.heraldique-blasons-armoiries.com/armoriaux/noblesse_empire/blasons_M14.html
MERLE (Pierre-Hugues-Victor), général de division, baron de l'Empire par lettres patentes du 15 octobre 1809. Règlement d'armoiries :
Coupé, le premier parti d'argent au chevron de gueules, accompagné en pointe d'une tête de lion arrachée du même, et surmontée d'un comble d'azur à trois étoiles d'or et de gueules au signe des barons tirés de l'armée. Le deuxième de gueules à la bande d'or chargée d'un merle de sable et accompagnée de deux molettes d'argent. Livrées : rouge, jaune, blanc et noir.
Informations plus précises sur http://chan.archivesnationales.culture.gouv.fr/
BB/29/966 page 389. Titre de baron, accordé par décret du 19 mars 1808 , à Pierre, Hugues, Victor Merle. Schoenbrunn (15 octobre 1809).

http://thierry.pouliquen.free.fr/noblesse/NoblesseMe02.htm
Noblesse d'Empire MERLE, Pierre Hugues Victor
26.08.1766 Montreuil-sur-Mer (Pas-de-Calais) - 05.12.1830 Lambesc (Bouches-du-Rhône)
Général de division
- Baron 19.03.1808 (décret), 15.10.1809 (lettres patentes)
Coupé le premier parti d'argent au chevron de gueules, accompagné en pointe d'une tête de lion arrachée du même, et surmontée d'un comble d'azur à trois étoiles d'or et de gueules au signe des barons tirés de l'armée. Le deuxième de gueules à la bande d'or chargée d'un merle de sable et accompagnée de deux molettes d'argent
Livrées : rouge, jaune, blanc et noir
- 17.03.1808 : Dotation de 10.000 francs de rente annuelle sur les biens réservés en Westphalie
- 15.08.1809 : Dotation de 10.000 francs de rente annuelle sur la Poméranie suédoise

NDLR : Un autre blason lui sera attribué, celui de Comte. C 'est ce dernier qui figure sur son tombeau à Nîmes, au cimetière Saint-Baudile.

http://lesapn.forumactif.fr/t5446-merle-pierre-comte-et-general-de-division
MERLE (Pierre-Hugues-Victor)
(1766 - 1830)
Comte de l’Empire
Général de division
Grand Officier de la Légion d’honneur
Né le 26 août 1766, à Montreuil-sur-Mer (Pas-de-Calais)
Domicilié à Marseille en 1822.
Décédé le 5 décembre 1830, à Marseille (Bouches-du-Rhône)
Etat des services :
Entré très jeune au service au régiment de Foix, 4 mai 1781, régiment devenu par la suite 53è de ligne.
Sollicite son congé à la date du 4 septembre 1782.
Entré au régiment angoumois, 14 décembre 1784, régiment devenu par la suite 80è de ligne.
Caporal de fusilier, 1er avril 1789.
Caporal-fourrier, 26 février 1789.
Sergent-major, 18 avril 1791.
Sous-lieutenant, 19 juin 1792.
Lieutenant, 24 octobre 1792.
Capitaine, 1er mai 1793, à la tête d’une compagnie d’artilleurs.
Commandant du fort de Socoa, en 1793.
Chef de bataillon d’artillerie 1er octobre 1793.
Général de brigade, 25 germinal an II (14 avril 1794)
Employé à la 8è division militaire, 22 vendémiaire an V
Fut mis en arrestation au Temple en 1798, pour avoir refusé de fusiller des Vendéens que ses troupes avaient faits prisonniers au château de Saint-Mervin, en Anjou.
On le traduisit ensuite à une Commission militaire séant à Marseille, et dont la composition pouvait lui donner des craintes ; mais, par le concours de quelques amis dévoués et la noble fermeté avec laquelle il défendit sa cause, il parvint honorablement à être acquitté.
Remis en activité par le gouvernement consulaire, il passa au commandement de Turin.
Gouverneur de la ville de Braunau, 8 brumaire an XIV.
Général de division, 26 décembre 1805, nommé par l’Empereur après s’être fait remarqué à la bataille d’Austerlitz, 2 décembre 1805.
Employé au corps d’observation des Côtes de l’Océan, 8 juin 1808
Mis en disponibilité à la date du 24 novembre 1811.
Rappelé au service, 26 avril 1812, chargé du commandement de la 3è division de réserve destinée pour la campagne de Russie.
Commandant de la 25è division militaire, à Maëstricht, en 1814.
Se prononça pour la cause des Bourbons en 1814, il envoya son adhésion au gouvernement provisoire et celle de ses troupes, aux arrêtés pris en faveur du roi.
Inspecteur général de la gendarmerie, dès le mois de juillet 1814.
Accompagna en mars 1815, le duc d’Angoulême dans le midi, et concourut, avec le général Vogué, qui lui avait été adjoint, aux opérations de guerre de ce prince, qui l’avait chargé de la défense importante du Pont-Saint-Esprit. La pénurie des moyens, la défection de la majeure partie de l’armée royale et l’approche de l’Empereur, dont le nombre grossissait chaque jour de toutes parts, ayant, bientôt après, rendu indispensable l’évacuation de cette place, le général Merle en instruisit le roi, ainsi que du mouvement qu’il allait faire sur Montdragon, parce que la défection du général Gilly ne lui permettait plus de se remettre en communication. Il laissa cependant le général Vogué à la garde du pont avec 150 gardes nationaux, qui l’abandonnèrent presque aussitôt.
En 1816, il a sollicité et obtenu sa mise en retraite, étant bénéficiaire d’une pension de 6000 francs.
Campagne et actions d’éclat :
1792 à 1794 : A l’armée des Pyrénées Orientales et à l’armée d’Espagne, sous les ordres du général Moncey.
9 août 1794 - (22 thermidor an II) : Il s’empara de deux escadrons de hussards de la ville de Tolosa, défendue par 8.000 Espagnols.
Reçoit des éloges, dans plusieurs rapports officiels le concernant sur des opérations militaires, en particulier sur les affaires des 5 et 6 octobre 1794, où à la tête d’une colonne, il chassa l’ennemi d’une position formidable et inexpugnable.
1795: A l’armée de Vendée.
11 nivôse an IV : A l’armée des Côtes de l’Océan.
23 messidor an IV : A l’armée des Alpes.
1805 : A la Grande Armée d’Allemagne.
Il se fit remarquer par son courage et ses talents, surtout à la bataille d’Austerlitz, 2 décembre 1805.
1808 : A l’armée d’Espagne.
Dès son arrivée en Espagne, il se signala par la prise de Valladolid, qui se rendit au mois de juin 1808, après une action très meurtrière. Il se porta ensuite sur Santander ; contribua le 14 août 1808, au succès du combat de Medina-del-Rio-Seco.
15 janvier 1809 : Conjointement avec le général Mermet, il culbuta sur les hauteurs de Villaboa les Anglais qui s’en étaient emparés, après leur débarquement à la Corogne.
5 juillet 1810 : Chargé par le général Rainier, d’une expédition dans les montagnes de Xérès, en Extremadura, il y rencontra, près de Sliva-Tierra, l’avant-garde espagnole, forte de 8.000 hommes de nouveaux renforts : il les battit et les dispersa totalement.
1812 : En Russie.
Employé à l’armée qui marche sur la Dwina.
Chargé le 19 août 1812, de couvrir, avec sa division, le front de la place de Polotsk, et de la protéger contre le corps d’armée du général Wittgenstein.
A la tête des Suisses et des Croates qu’il commandait, le général Merle repoussa victorieusement le général russe, qu’il battit encore complètement, lors de la retraite de l’armée française, et malgré la supériorité numérique des ennemis. Forcé néanmoins par les circonstances, d’abandonner Polotsk, le général Merle réussit à évacuer avec tous les bagages et plus de 140 pièces d’artillerie, en présence de forces très supérieures et malgré des attaques tellement multipliées jusqu’à deux heures du matin, que cette affaire nocturne reçut des soldats le nom de « nuit infernale ».
Il ramena le reste de sa division ainsi certains débris de la Grande Armée jusqu’en Pologne.
Blessures:
- Couvert de contusions multiples – A eut deux chevaux tués sous lui, à la bataille d’Austerlitz, 2 décembre 1805.
- Durant les différentes affaires de la guerre d’Espagne, en 1808, a eut trois chevaux tués sous lui.
- Reçoit une blessure grave à O'porto, 29 mars 1809.
- A eut le bras droit fracassé par un coup de canon à mitraille, à la fameuse affaire de Busaco, au Portugal, 27 septembre 1810.
Décorations :
Membre de la Légion d’honneur, par décret du Premier Consul du 19 frimaire an XII
Commandant de la Légion d’honneur par décret du Premier Consul du 25 prairial an XII (14 juin 1804)
Grand Officier de la Légion d’honneur par décret impérial du 4 septembre 1808.
Chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis, en 1814.
Titre :
Baron de l’Empire, par décret impérial du 15 septembre 1809.
Mention :
Son nom est gravé sur le pilier ouest de l’arc de triomphe de l’Etoile, à Paris (Seine)

http://arnauld.divry.pagesperso-orange.fr/Les-660-Noms_M-Q.pdf
MERLE (inscrit en 1836, pilier ouest, colonne 35)
Pierre Hugues Victoire Général de division (Montreuil (Pas-de-Calais) 26.8.1766 - Marseille 5.12.1830) Fils de Hugues Merle, meunier, et de Marguerite Charlotte, née Battel, Merle est soldat au régiment de Foix-infanterie en 1781 puis au régiment d’Angoumois en 1782. Sous-lieutenant en juin 1792, il sert à l’armée des Pyrénées puis à celle des Pyrénées occidentales de 1792 à 1795.
Lieutenant en octobre 1792, capitaine en juillet 1793, chef d’un bataillon d’artillerie à Bayonne, en mars 1794, il est général de brigade le 14 avril 1794. Après les armées de l’Ouest et des Côtes de l’Océan en 1795 - 1796, Merle épouse le 2 octobre 1797 la Marseillaise Françoise Madeleine Berenguier, sans descendance. Après le camp de Saint-Omer en 1803 - 1805, il sert dans la division Legrand. Général de division le 24 décembre 1805 après Austerlitz, il est chef d’état major de Soult en mars 1806. En Espagne en 1808, il sert à Medina del Rio Seco puis à Lugo, le 7 janvier 1809. Baron de l’Empire le 15 octobre 1809, il est grièvement blessé à Bussaco le 27 septembre 1810. En 1812, il sert sous Oudinot, à Polotsk en Russie. En août 1813, gouverneur de Maastricht, il commande la 25e division militaire. Aux Cent-Jours, il commande une division au Corps d’observation du Var. Admis à la retraite en 1816, il se retire à Lambesc.

https://archive.org/stream/armorialdupremie03reve/armorialdupremie03reve_djvu.txt
Pierre-Hugues-Victor Merle, baron de l'empire par lettres patentes du 15 octobre 1809, donataire (r. 20000) en Westphalie par décret impérial du 17 mars
1808 et en Poméranie suédoise par décret du 15 août 1809; soldat (1.781), sous-lieutenant (19 juin 1792), capitaine (1 er mai 1793), colonel d'infanterie, général de brigade (l f i avril ISO'i), général de division (25 décembre 1800), GO chevalier de Saint-Louis; né à Montreuil-sur-Mer, 20 août 17G6, j- 5 décembre 1830; marié, 2 octobre 1797, à Françoise-Madeleine Berenguier; sans postérité.
Le baron de l'empire laissa comme héritier et légataire un fils de son frère : Fortuné Merle, père lui-même de : Gustave Merle, conseiller à la Cour d'appel de Besançon.
http://lambesc-poste.pagesperso-orange.fr/Documents%20Postaux.htm

Pages du Registre de l'Etat-Civil de Lambesc du 18 décembre 1830, concernant la transcription de l'acte de décès de Pierre Hugues Victoire MERLE, Général de Division survenu à Marseille le 5 décembre 1830.

N° 131 Merle pierre hugues victoire.
L'an Mil huit cent trente le dix huit du mois de Décembre onze heures du matin nous premier adjoint remplissant les fonctions d'officier de l'état civil de la commune de Lambesc département des Bouches du Rhône par délégation de M. le Maire du onze novembre dernier. En vertu de l'article quatre vingt du code civil avons transcrit sur les présents registres l'acte de décès de pierre hugues victoire Merle Baron Lieutenant Général en retraite dont le dernier domicile était dans cette Commune et qui est décédé à Marseille rue neuve de l'amandier n°8 le cinq décembre présent mois, lequel acte de décès nous a été transmis par lettre de M. le sous préfet d'Aix à la date du seize de ce mois duquel acte la teneur suit.
Mairie de Marseille, Département des Bouches du Rhône.
L'an Mil huit cent trente et le six décembre à dix heures du matin. Acte de décès de pierre hugues victoire Merle décédé hier matin à dix heures Baron lieutenant général en retraite, Grand officier de la légion d'honneur, Chevalier de l'ordre royal et militaire de St Louis agé de soixante quatre ans né à Montreuil sur mer (Pas de Calais) domicilié et demeurant à Lambesc (Bouches du Rhône). Actuellement en cette ville rue neuve de l'amandier n°8. Epoux de françoise marie Bérenguier, fils de défunt joseph pierre Merle et de marguerite Battel sur la déclaration faite par etienne joachin jean baptiste Bérenguier neveu du décédé agé de trente six ans vérificateur de l'octroi domicilié et demeurant rue minimes n° 60 et par louis Payen agé de trente quatre ans parfumeur domicilié et demeurant allée de Meilhan n°29 de constaté d'après le chapitre 4 titre 2 du code civil par nous antoine Liguins adjoint à la Mairie délégué aux fonctions d'officier de l'état civil et lecture faite aux déclarants avons signé  avec eux. Signé Bérenguier Payen antoine Liguins.
Collationné le neuf décembre Mil huit cent trente et ainsi délivré pour être transmis à M. le Maire de Montreuil sur mer (Pas de Calais) en vertu de l'article 80 du code civil. Le Maire de Marseille signé ant Liguins adjoint. Le préfet des Bouches du Rhône certifie véritable la signature de M. Liguins apposée d'autre part.
Marseille le quinze décembre 1830 par délégation la secrétaire général. Signé ...Vaisses
Certifié conforme à la Copie du dit acte de décès par nous adjoint délégué aux fonctions d'affaire en l'état civil laquelle la position nous avons assuré au présent registre à Lambesc les ans et jours susdits.
Bonnaud adjoint (signe d'appartenance à la franc-maçonnerie dans la signature)
En décembre  1830, le Maire de Lambesc était M. Granier, Bonnaud son premier adjoint le deviendra en 1831.
Le Maire de Marseille était Joseph Alexis Rostand, oncle d'Edmond Rostand l'auteur de Cyrano de Bergerac.
Le Préfet des Bouches du Rhône était Joseph Moustier Thomas.
A sa retraite le Général Merle résida à Lambesc, place de la Trinité. Un tableau le représentant et sa collection de pipes sont visibles au Musée de Lambesc.

http://www.planete-napoleon.com/docs/Campagne_Aile_Gauche_1812_-_Partie_IV.pdf
Général Pierre-Hugues-Victor Merle (1766-1830)
Enrôlé en 1781 mais n’avait pas l’âge réglementaire. Réengagé en 1784. Sous-lieutenant en 1792. Promu général de brigade le 14 avril 1794 et employé en cette qualité à la tête d’une brigade d’infanterie à l’armée des Pyrénées Orientales sous les ordres du général Moncey. A l’armée des Côtes-del’Océan en 1796 à la division Chabot. En 1798, arrêté pour avoir refusé de faire fusiller des Vendéens que ses troupes avaient faits prisonniers. Acquitté, il passe à l’armée d’Italie en 1800 puis au camp de Saint-Omer en 1803. À la division Legrand le 30 août 1805.
Servit à Austerlitz et nommé général de division le 24 décembre 1805. Passe en Espagne en 1808, sous Bessières, s’empare de Valladolid le 12 juin, et servit à Medina de Rioseco le 14 juillet ; baron d’Empire en août de la même année. Sert sous Soult dans la même armée, combat à la Corogne le 16 janvier 1809, blessé à Oporto le 29 mars. Passe au Portugal et est grièvement blessé à Buçaco d’un coup de mitraille au bras le 27 septembre 1810. Servit à Fuentes de Oñoro le 5 mai 1811. Passe en Allemagne le 18 mai 1812 et y prend le commandement de la division formée des Suisses et des Croates sous Oudinot. Servit particulièrement à la 2e bataille de Polotsk.
Commanda provisoirement le 2e corps du 23 octobre au 4 novembre. Commandant la 25e division militaire à Maestricht le 10 août 1813. Inspecteur général de la gendarmerie en mai 1814. Servit sous le Duc d’Angoulême dans le Midi en mai 1815. Admis à la retraite en août 1816.

http://retro.seals.ch/cntmng?pid=rms-001:1893:38::704
Le général Merle et la campagne de Russie,
extrait de la revue militaire Suisse
Le général baron Merle, dont le public français et suisse s'est beaucoup occupé dans ces dernières années à l'occasion de diverses publications relatives aux guerres de l'Empire, vient d'être l'objet d'un livre (1) digne d'être présente et recommande ä nos lecteurs. Ce livre a le mérite de donner d'intéressants détails, dont quelques-uns nouveaux, sur la vie d'un brave militaire qui nous touche de près.
 
(1) Le général baron Merle, 1766-1830. Notice biographique, par Aug. Braquehay. Paris, librairie militaire Ed. Dubois, 1893. 1 vol. in-8 de 260 pages. - Prix 3 fr.
 
« Soldat de la monarchie, dit son biographe, rallie ä la Révolution, mais attaché à ses devoirs militaires ; patriote, et mettant au-dessus de tout l'inviolabilité du sol national, Merle n'est pas seulement un de ces hommes que les dangers, les privations, les situations en apparence désespérées ne découragèrent jamais : au milieu de cet innombrable état-major napoléonien toujours héroïque, mais souvent soudard, batailleur, tape-dur, il détonne agréablement par des qualités de finesse, de modération, d'instruction même qui le font ranger dans une classe bien à part où il se rencontrerait avec de vieux républicains comme Moncey ou de vaillants impériaux comme Suchet.
Lui restituer à l'aide des témoignages les plus sérieux, le rôle qui lui revient dans la merveilleuse épopée militaire de la République et de l'Empire, en le dégageant de l'éclat de ces retentissantes renommées qui éclipsent et absorbent tout ce qui en approche, tel est le but que nous nous sommes propose en entreprenant nos recherches. »
NDLR - Pour lire la totalité de l'article suivre le lien.

En savoir plus
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