Biographie parlementaire des Ducs d'Uzès

Biographies extraites du dictionnaire des parlementaires français
de 1789 à 1889 - pages 465 et 466.

Marie-François-Emmanuel de Crussol, Duc d'Uzès,
pair de France, né à Paris le 30 décembre 1756, mort à Bonnelles (Seine-et-Oise) le 8 août 1843, était en 1789, colonel du régiment de Berry. Il émigra à l'époque de la Révolution, servit à l'armé de Condé, devint maréchal de camp, et ne rentra en France qu'avec les Bourbons. Nommé alors lieutenant général et pair de France, le 4 juin 1814, le duc d'Uzès vota constamment avec les royalistes-ultra et se prononça pour la mort dans le procès du maréchal Ney. Ennemi du régime constitutionnel, il s'associa à toutes les mesures de répression, et quitta la Chambre haute après l'avènement de Louis-Philippe, pour refus de serment.


Adrien-François-Emmanuel de Crussol, Duc d'Uzès,
député de 1821 à 1830 et pair de France, né à Paris le 15 novembre 1778, mort à Marseille (Bouches du Rhône) le 1er avril 1837, fils de Marie-François-Emmanuel et "de haute et puissante dame, madame Amable-Emilie de Chatillon", capitaine de cavalerie et aide-de-camp du roi, fut successivement élu député du 3° arrondissement électoral du Gard (Uzès), le 25 février 1824, par 189 voix (224 votants, 312 inscrits) ; le 17 novembre 1827, par 135 voix (200 votants, 267 inscrits), contre 64 à M. Damtmartin ; le 12 juillet 1830, par 152 voix (220 votants, 261 inscrits), contre 43 à M. Dampmartin. Il siégea à droite, soutint le ministère de Villèle et vota contre l'Adresse des 221 (*). Le 8 décembre 1830, il fut admis à siéger à la chambre des pairs, à titre héréditaire, en remplacement de son père démissionnaire, et appuya jusqu'à sa mort la politique conservatrice.

(*) L'adresse des 221 fut adressée le 18 mars 1830 par la Chambre des députés à l'intention du roi de France, Charles X. À l'occasion de l'ouverture de la session parlementaire de 1830, elle exprime la défiance de la majorité libérale de la Chambre, forte de 221 députés, à l'égard du ministère dirigé par le prince de Polignac.

Armand-Géraud-Victurnien-Jacques Emmanuel de Crussol, Duc d'Uzès,
député de 1813 à 1848 et de 1852 à 1857, né à Paris le 28 janvier 1808, mort à Paris le 22 mars 1872, fis de Adrien-François-Emmanuel et de Catherine-Victoire-Victurnienne de Rochechouard-Mortemart, s'engagea dans la cavalerie, et, au bout d'un an passé au service de la Russie, fit la campagne des Balkans. Élu, le 13 août 1843, député du 2e collège de la Haute-Marne (Bourbonne), en remplacement de M. Renard nommé médecin inspecteur des eaux thermales de Bourbonne, par 118 voix (144 votants, 180 inscrits), et réélu, le 1er août 1846 par 120 voix (153 votants, 182 inscrits), contre 27 à M. Chauchard, il prit place parmi les députés dévoués au gouvernement, et, à la suite de son vote pour l'indemnité Pritchard (*), eut un duel avec M. de Calvière. Rentré dans la vie privée à la révolution de février, il ne se rallia point à la politique du prince Louis-Napoléon et fut néanmoins élu, le 29 février 1852 comme candidat indépendant, député du corps législatif dans la 2e circonscription du Gard, où il était grand propriétaire, par 16296 voix (27562 votants, 35728 inscrits), contre 11177 au général Teste. Il fut membre de la commission du budget, pris une fois la parole, dans la première cession (1852), pour combattre, en termes assez heureux, le projet de création d'un ministère de la police générale, puis se montra peu assidu aux séances, préférant le cercle agricole au Palais Bourbon, et ne se représenta pas aux élections de 1857. Chevalier de la Légion d'honneur le 14 décembre 1828.

(*) L'anglais Pritchard, n'était pas seulement missionnaire protestant, il était aussi Apothicaire et commerçant. Il suggéra au gouvernement britanique en 1839, de faire de Tahiti un protectorat, mais celui-ci refusa. Pritchard s'inquiétait de l'arrivée de missionnaires catholiques, susceptibles de remettre en cause la solide implantation méthodiste qui assurait une place de choix au pasteur Pritchard. Son « anti-catholicisme viscéral » l'amena à utiliser son ascendant sur la reine de Tahiti Pomare IV, dont il était devenu le conseiller, pour l'encourager à expulser deux missionnaires catholiques présents sur l'île. Cela fournit l'occasion à la France de prendre le contrôle de l'île. En septembre 1842, profitant de l'absence de Pritchard, l'amiral Dupetit-Thouars établit un protectorat français sur l'île. Pritchard poussa Pomare à la révolte. La France décida dès lors d'annexer le territoire (novembre 1843), puis d'arrêter et d'expulser Pritchard (1844). Cette affaire entraîna d'importantes tensions entre la France et le Royaume-Uni et amena Londres à exiger de Louis-Philippe des excuses, le retour au statut de protectorat et le versement d'une indemnité au pasteur Pritchard pour la spoliation de ses biens.

Extrait de l'Histoire de Nîmes d'Adolphe Pieyre, 1886 - Tome II, pages 174-175.

Elections législatives du 29 février 1852.
Le 14 janvier 1852, le Président de la République prononçait la nouvelle constitution, empruntée suivant l'expression même de son auteur à celle de l'an VIII. Elle plaçait le chef de l’État, détenteur du pouvoir, responsable vis-à-vis de la nation, entouré de ministres, ne formant plus un conseil responsable "obstacle journalier à l'impulsion particulière du chef de l’État" - Entre le peuple et lui deux grands corps se partageaient le pouvoir législatif et constitutionnel. L'un, le Corps législatif, élu dans le suffrage universel, sans scrutin de liste ; l'autre le Sénat, nommé par le chef de l’État et gardien de la Constitution. Le premier votant les lois et l'impôt, le second annulant tout acte arbitraire ou illégal. Le corps législatif ne devait pas avoir plus de deux cent soixante membres.

Le 2 février paraissait un décret fixant le recrutement du Corps législatif et les détails du scrutin à un député pour 35000 habitants. Le Gard avait à nommer trois députés, et les élections auront lieu le 29 février 1852.
Dans la deuxième circonscription Armand-Géraud-Victurnien-Jacques Emmanuel de Crussol, Duc d'Uzès, se présentait au scrutin avec la profession de foi suivante :
« Au moment où les électeurs de l'arrondissement d'Uzès allaient pour la première fois, après les événements de décembre, exercer leur droit de suffrage, des voix amies m'ont appelé au milieu d'eux. Je suis venu, libre de tout engagement, mettre à la disposition de mes concitoyens, mon nom, mon dévouement, mes forces et ma confiance en eux.
J'ai toujours pensé qu'il n'est aucune circonstance où un homme honnête et désintéressé ne puisse rendre quelques services, s'il prend pour règle unique de sa conduite les intérêts généraux de ses commettants et le bien du pays. Les derniers évènements n'ont en rien modifié mes convictions à cet égard. Je reste ce que j'étais, indépendant du pouvoir comme avant, résolu toujours à lui venir en aide par la défense des principes sacrés d'ordre et de conservation sociale.
Enhardi par l'adhésion unanime des électeurs de la ville d'Uzès, j'ai donc cédé aux instances qui m'étaient faites et livré mon nom à une première épreuve. J'accepte le concours qu'ils m'ont offert. Convaincu d'ailleurs de la loyauté de ces paroles du pouvoir, que : Toutes les candidatures doivent pouvoir se produire sans opposition et sans contrainte, j'abandonne la mienne aux sympathies de mes amis comme à l'estime de mes adversaires.
Je confie ma cause au patriotisme de mes concitoyens. Quel que soit le résultat du scrutin, et s'il faut me retirer dans le calme de la vie privée, j'emporterai avec moi la conviction qu'il me reste une large place dans leur estime et dans leur affection. Le Duc d'Uzès. »

Le candidat officiel était dans cette circonscription en butte à de très vives attaques et nous verrons qu'il fut écarté par le corps électoral. M. Bourdon, le préfet, essaya de le sauver et fit afficher ce qui suit :
« Messieurs, dans une récente circulaire que j'ai adressée à MM. les maires pour leur faire connaître les candidats du gouvernement au Corps législatif, je rappelai en ces termes les titres du général Teste à votre confiance ; Le général Teste a tout un passé de services militaires et de gloire qui commande le respect et appelle les plus vives sympathies du » département du Gard pour un de ses plus illustres enfants.
J'apprends que d'indignes attaques sont dirigées contre cet illustre et vénérable guerrier de l'Empire. Je viens au nom du gouvernement de Louis-Napoléon, qui l'a jugé digne de votre choix, protester énergiquement contre cet outrage fait à ses cheveux blancs et à sa vieille gloire.
Vous partagerez, Messieurs les électeurs, ma juste indignation. Si dans ma circulaire précitée j'ai pu laisser carrière à toutes les candidatures honorables acceptant avec franchise et sincérité le nouvel ordre de choses, aujourd'hui que l'on attaque odieusement le candidat du gouvernement, je n'en reconnais plus de possible que l'honorable général Teste. Vos votes le vengeront de la calomnie et justifieront d'une manière éclatante le choix du prince-Président.
MM. les Maires comprendront comme moi les devoirs nouveaux et impérieux que cette situation nous impose.
Fait à Nîmes, à l'hôtel de la Préfecture, le 20 février 1852. Le Préfet du Gard, Bourdon. » 

Amable-Antoine-Jacques-Emmanuel de Crussol, Duc d'Uzès,
né à Paris le 18 janvier 1840, mort à Paris le 28 novembre 1878, fils de Armand-Géraud-Victurnien-Jacques Emmanuel et de Mlle de Talhonet, grand propriétaire dans le Gard, échoua, le 24 mai 1869, au Corps législatif dans la 2e circonscription de ce département comme candidat indépendant, avec 8217 voix contre 11193 voix à l'élu M. Genton, candidat du gouvernement et 1619 voix à M. Brun ; le 8 février 1871, il fut élu représentant du Gard à l'Assemblée nationale, le 5e sur 9, par 56189 voix (95143 votants, 137826 inscrits), prit place à l'extrême droite, se fit inscrire au cercle Colbert et à la réunion des Réservoirs, fit partie de la commission du budget, et vota pour la paix, pour l'abrogation des lois d'exil, pour la pétition des évêques, pour la démission de Thiers, pour le septennat, pour le ministère de Broglie, contre l'amendement Wallon et contre les lois constitutionnelles. Il ne se représenta pas aux élections de 1876.

Extrait de l'Histoire de Nîmes d'Adolphe Pieyre, 1886 - Tome III, pages 102 à 106.

Elections législatives du 8 février 1871.
Lorsqu’au milieu de ces deuils multiples, de ces angoisses profondes courut la nouvelle de la conclusion de l'armistice, un sentiment d'espérance s'empara de tous. Les passions politiques, endormies pendant la guerre, se réveillèrent aussitôt. Le temps était du reste fort court pour se préparer au scrutin puisque les élections étaient fixées au 8 février. Le Gard avait à nommer neuf députés.


Les clubs républicains donnèrent le signal politique. Dans une réunion de délégués qui eut lieu le vendredi 3 février, 26, rue Trajan, ils adoptèrent la liste des candidats suivants :
MM. Eugène Ducamp, Jules Cazot, Bousquet, Laget, Claris, Félix Teulon, Favand, Bosc, Ballue. C'était la liste patronnée par le Républicain du Gard.

À celle-ci était opposée une liste dressée par le comité départemental conservateur composée comme il suit et patronée par la Gazette de Nîmes.
Pour l'arrondissement de Nîmes. -- MM. Ferdinand Boyer, de Valfons, Louis-Numa Baragnon. Pour l'arrondissement d'Alais : MM. de Larcy et Benoist-d'Azy. Pour l'arrondissement d'Uzès : MM. le duc de Crussol et Thiers. Pour l'arrondissement du Vigan : MM. de Tarteron et de Chabaud-Latour.

À côté de ces listes, les deux qui en réalité devaient se disputer les suffrages des électeurs, il en était d'autres dictées par un esprit de conciliation ou de coterie. Le Courrier du Gard avait la sienne :
MM. Thiers, Benoist-d'Azy, de Chabaud-Latour, Louis Laget, de Valfons, Jauréguiberry, Ferdinand Boyer, Claris, de Tarteron.

L'Opinion du Midi et la Sentinelle du Midi préconisaient aussi neuf candidats. C'étaient avec quelques variantes ceux du Courrier du Gard. M. Claris était remplacé par M. le duc de Crussol ou par M. Frédéric Béchard. Le Bulletin International de Nîmes, journal de M. Pierre Baragnon, publiait, lui aussi, sa liste qu'il qualifiait pompeusement de «
antibonapartiste, de conciliation et de fusion. » Les noms de ses candidats méritent qu'on s'y arrête. C'étaient :
MM. de Cathelineau, Louis Laget, Pierre Baragnon, Benoit d'Azy, Jules Cazot, de Valfons, duc de Crussol, Bousquet, de Chabaud-Latour. Le promoteur de cette liste se faisait dans son journal une immense réclame qui aboutit d'ailleurs à un piteux résultat. Il escomptait le rôle marquant que le gouvernement de la défense nationale lui avait fait jouer en l'envoyant préfet dans les Alpes-Maritimes, où il se compromit par ses tendances séparatistes, ou en lui confiant une de ces sinécures grassement rétribuées, que s'adjugeaient les républicains à cette époque, l'inspection des mobilisés de la vallée du Rhône et des Cévennes.

Tels étaient les hommes en présence. On devine les principes qui se heurtaient dans la lutte et d'ailleurs les républicains même prenaient la précaution de bien préciser ce qu'ils voulaient. Ne lisait-on pas dans un de leurs organes, les Droits de l'Homme : «
Vous nous appelez des rouges. N'anticipons pas, nous ne le sommes pas encore, mais nous ne demandons qu'à le devenir. Nous voulons être rouges du sang des blancs. »


Les électeurs des 3 cantons, banlieues et villages compris étaient convoqués pour le 8 février et répartis en huit sections, savoir :

1er canton. - 3 sections. - École de la rue des Bénédictins, Théâtre, école de la rue du Mail.
2e canton. -- 3 sections. - École de la place de la Calade, de la rue Saint-Charles, de la rue Notre-Dame.
3e canton. - 2 sections. - Lycée, école de la rue de la Servie. Les résultats furent pour Nîmes les suivants :
Laget 5902 ; Thiers 7970 ; Cazot 5483 ; Benoit d'Azy 7923 ; Ducamp 5187 ; De Larcy 7776 ; Bousquet 5414 ; De Chabaud-Latour 8143 ; Bosc 4855 ; L.-Numa Baragnon 6804 ; Claris 5308 ; Ferdinand Boyer 7417 ; Favand 5001 ; De Crussol 8051 (5e sur 9, par 56189 voix dans le département ) ; Ballue 4886 ; De Tarteron 7599 ; Teulon 4841 ; De Valfons 8169.

Dans le 1er canton M. Laget arrivait en tête de la liste républicaine avec 3206 voix et M. de Chabaud-Latour, en tête de la liste conservatrice, avec 2351 voix. Le chiffre de voix le plus faible dans ce canton appartenait, pour la liste républicaine, à M. Bosc (2898 voix) et pour la liste conservatrice, à M. Baragnon (1963 voix).


Le 2e canton donnait à M. de Valfons le nombre le plus considérable de bulletins (2709 voix) alors que M. Laget le premier de la liste républicaine n'en recueillait que 1510. M. Ballue (liste républicaine) arrivait dernier avec 1196 voix ; M. Baragnon, dernier de la liste conservatrice, en réunissait 2224.


Les écarts dans le 3e canton s'établissaient comme suit : pour le chiffre de voix le plus élevé, M. Laget (liste républicaine) 1186 ; M
. de Valfons (liste conservatrice) 3172. Pour le nombre de suffrages le plus faible : M. Baragnon (liste conservatrice) 2617, M. Teulon (liste républicaine) 744.


Dans le département en y ajoutant les votes de l'armée, des mobiles, des mobilisés et des civils extérieurs, la liste conservatrice triomphait avec un chiffre de voix considérable allant de 60.446 pour le plus fort (M. de Chabaud-Latour) à 49,649 pour le plus faible (M. L.-N. Baragnon).
M. Laget, celui de la liste républicaine qui réunissait le plus grand nombre de voix, n'en avait que 47,690.

Des nombreuses listes qui avaient circulé jusqu'à la veille du vote, il n'y eut qu'un nom qui recueillit un certain nombre de voix, M. l'amiral Jauréguiberry, allié à une famille nîmoise, et dont la conduite sur les champs de bataille de la Loire, soit à Coulmiers, soit au Mans, avait été au-dessus de tout éloge. M. Jauréguiberry réunissait 8,045 voix. Mais les électeurs avaient réservé à M. Pierre Baragnon, ce singulier personnage, la veille encore un des gros fonctionnaires de la République, le plus lamentable échec. Le rédacteur du Bulletin International, qui depuis trois années remplissait Nîmes de sa tapageuse personne, réunissait à peine 200 voix péniblement recueillies dans les campagnes du département et peut-être grâce à une confusion de nom. Les mobilisés, dont il était l'inspecteur de par le gouvernement de la défense nationale, ne lui accordaient pas le moindre suffrage.


La séance préparatoire de l'Assemblée nationale eut lieu le 12 février à Bordeaux. Il était réservé à un membre de la députation du Gard, M. Benoist-d'Azy, l'honneur de présider comme doyen d'âge cette importante réunion. Le lendemain 13, l'Assemblée tint sa première séance publique. M. Benoist-d'Azy y était assis au fauteuil de la présidence qu'il barda jusqu'au 16 février. Ce jour-là l'Assemblée constitua son bureau en nommant M. Grévy président, mais notre compatriote fut élu l'un des quatre vice-présidents.

-oOo-

Biographie des 9 ducs d'Uzès, sous l'ancien régime

> Antoine de Crussol, premier Duc d’Uzès (1528-1573)
Madame de Clermont Tonnerre, épouse d'Antoine de Crussol - Premiere Duchesse d’Uzès
> Jacques de Crussol, deuxième Duc d'uzès (1540-1584)
> Emmanuel Ier de Crussol, troisième Duc d’Uzès (1570-1657)
> François Ier de Crussol, quatrième Duc d’Uzès (1604-1680)
> Emmanuel II de Crussol, cinquième Duc d’Uzès (1642-1692)
> Louis de Crussol, sixième Duc d'Uzès (1673-1693)
> Jean-Charles de Crussol, septième Duc d'Uzès (1675-1739)
> Charles-Emmanuel de Crussol, huitième duc d'Uzès   (1707-1762)
> Les Aventures du Duc d’Uzès « dit le Bossu »
> François-Emmanuel de Crussol, neuvième Duc d’Uzès (1728-1802)
> Biographie parlementaire des Ducs d’Uzès
Le duché d'uzès
> Le château et les Ducs d'Uzès
> L’origine du Duché-Pairie d’Uzès
> De Crussol, Duc d’Uzès sur internet
> Biographie de la Duchesse d’Uzès sur internet (1847-1933)

> Contact Webmaster